« La mission de la chaire Digital Twins for Industrial Systems : œuvrer au développement de jumeaux numériques pour les systèmes industriels. Cette chaire de mécénat concentre pour cela les efforts de trois écoles de l’Institut Mines-Télécom (IMT). Elle offre ainsi un cadre de recherche pour certaines des problématiques scientifiques et techniques, de cas d’usage, de performance, de gestion et de maintenance de ces jumeaux numériques, avec le soutien également de trois partenaires industriels. »
Dans un article signé par Ingrid Colleau et diffusé sur le site I’MTech, Vincent Chapurlat, chercheur en ingénierie des systèmes à IMT Mines Alès, Frédéric Grimaud, chercheur en génie industriel à Mines Saint-Étienne et Jacques Lamothe, chercheur en génie industriel à IMT Mines Albi, détaillent les objectif de la chaire Digital Twins for Industrial Systems.
La chaire Digital Twins for Industrial Systems vise à lever les verrous scientifiques autour de la conception de jumeaux numériques économes, en énergie et en ressources informatiques, et durables.
Pour en savoir plus sur la chaire Digital Twins for Industrial Systems
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C’est dans ce cadre que Frédéric Grimaud, enseignant chercheur à l’Institut Fayol, membre du Limos et Responsable de la plateforme R&D Industrie du futur IT’M Factory et Damien Lamy, enseignant chercheur à Mines Saint-Etienne et membre du LIMOS, tous deux également membres de la Chaire de Recherche « Digital Twins for Industrial System » sont intervenus.
Les jumeaux numériques sont des répliques virtuelles d’objets, de systèmes ou de processus du monde réel. Ils sont utilisés pour simuler, surveiller et prédire le comportement des objets réels en temps réel. Ces dernières années, de nombreuses entreprises ont investi dans le développement de jumeaux numériques pour améliorer l’efficacité opérationnelle, la maintenance prédictive, la conception de produits et d’autres aspects de leurs activités. Les progrès dans les technologies de l’Internet des objets (IoT), de l’intelligence artificielle (IA), de la modélisation et de la simulation ont alimenté cette croissance.
Mais malgré ce regain d’intérêt, cette technologie n’est pas encore aussi répandue qu’on aurait pu le penser alors même que ses atouts sont indéniables !